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Mirabantur omnes de his que procedebant de ore Dei.

 

Qu’est-ce que c’est qu’une mission mariale, et une conférence théologale ? En bref peut-on dire que la mission mariale est la base de l’entretien théologal : déjà la naissance de Notre-Seigneur Jésus Christ est le premier sermon. Théologal en effet signifie parlant de Dieu, tandis que théologique signifie seulement par rapport à Dieu.

 

La liturgie traditionelle est théologale, elle reproduit la Nativité de Jésus Christ (station 11), la nouvelle liturgie est au maximum théologiue, en rapport à Dieu, en guise de distinction de politique ou scientifique. Peut-être que la nouvelle liturgie, humaine, prétend (d’) être plus scientifique, que l’on réussisse à la fonder dans la conception des hommes d(e l’) église. Ou la nouvelle liturgie peut-elle être politique, au sens qu’elle reflète les aspirations du genre humain, par exemple les nouvelles prières du Vendredi-Saint.

 

C’était hier le 5e dimanche après l’Epiphanie ; ces dimanches portant tous les mêmes chants sont le noyau ou bien la marque de la vérité théologale de la sainte Liturgie. Surtout le 4e. Et cette dimension théologale de la liturgie est prônée dans une suite préordonnée de messes-station et autres, disant la foi et la bénissant.

 

Stationentafel

 

 

Sainte Marie-Majeure

 

Vous trouvez au Missel 86 Messes ayant une station. Les stations sont des églises à Rome qui abritaient les cérémonies du Souverain Pontife dans les temps préparant la nouvelle vie. La nouvelle vie est sortie du sein virginal de Notre-Dame, et chaque fois que l’Eglise catholique est sensée donner une instruction, il y a messe stationale.

 

Les stations pérpétuent tant la vie de Notre Dame que les Pontifes prolongent la mission du Sauveur. Que les deux réalités ne soient point disjointes, il y a des personnages bibliques et canoniques qui sont faits patron. Les plus importants se trouvent au Canon Romain. D’autres Saints qui illustrent le Dogme patronnent des stations sans figurer au Canon, p.ex. le Pape Marcel, et des personnes apostoliques cités au Canon qui n’ont pas de fête stationale, mais dont le jour personnel concourt normalement avec une messe stationale, p.ex. les apôtres Thomas et Matthieu.

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Saint-Jean l’Evangeliste

 

Vous constaterez quatre groupes temporels à 21 jours-stations, regroupés en paquets de 7. Le deuxième paquet contient les jours fixes du 24 décembre au 6 janvier, avec les fêtes de Saints de l’octave de Noël. Ce sont les seuls à figurer au propre du Temps. Et c’est eux qui montrent ce que c’est que la Mission mariale : la grâce du Bon Dieu dans les hommes de son choix. Saint-Ignace d’Antiochie est quasiment l’objet dévotionnel de toute la liturgie mariale. La confession délibérée.

 

Marie théologale : c’est le discours de Jésus dans sa boche (Noces de Cana). Et le mystère de Jésus n’est pas théorique, mais apostolique, il sort et s’en va, voilà les saints. Saint Jean est évangeliste tant qu’il porte la grâce, il est apôtre en tant qu’il fait la volonté du Verbe.

 

Si vous faites un discours théologique de Marie, investiguez l’œuvre des Saints ! C’est pas tant telle et telle parole de théologien, mais bien plus la charité des serviteurs qui trahit la vérité du prophète.

Marie ne parle guère de l’Evangile, son instruction c’est l’œuvre des enfants du catéchisme (Cécile).

C’est ça la dimension théologale de la sainte Vierge dans la Liturgie : la grâce du Verbe éternel dans le mystère des chantres.

 

Cantate Domino canticum novum

 

Il y a 42 églises qui servent de stations, dont une représente un mystère : sainte-Croix en Jérusalem.  Quelques saints comportent une spécification locale pour indiquer le changement de vie que la grâce nous propose.

 

La station principale est Sainte-Marie-Majeure, suivie de saint Laurent et de Saint Pierre. Vous demanderez pourquoi jamais une fête de Notre-Dame n’est célébrée comm mystère-station. Puisque Notre Dame ou l’Eglise sont la source dispensatrice. Aussi Saint-Pierre n’est jamais célébré lui-même bien que l’église portant son nom soit 14 église stationale.

 

Nous nous proposons 4 stations. Sainte-Marie-Majeure, saint-Laurent, saint-Marcel et sainte-Cécile.

Et trois fêtes : les Saints Innocents, le Vendredi-Saint et l’Ascension.

 

·        L’Eglise de sainte Marie-Majeure est visitée onze fois, ce nombre correspond à la mission. Chaque fois qu’il s’agit d’inspiration. La première fois au début de l’avent, où il s’agit de percevoir la lumière cachée. C’est la station n 1.

Ensuite tous les mercredis de Quatre-Temps : où il s’agit de dire oui à la mission. On le dit avec le secours de la sainte grâce. Stations 4, 24, 77 et 81.

Les jours d’élection à l’apostolat, tels la vigile de Noël et Saint-Jean l’Evangeliste (stations 8 et 10). Il s’agit de voir la source : la grâce préparée.

Les jours de Pâques et de la Nativité. La grâce brille. Stations 63 et 86.

La Nativité elle-même, localisée à la Crèche en Sainte-Marie-Majeure : La grâce appelle.

 

    Saint-Laurent est visité sept fois, un nombre qui correspond au don qu’est la foi. Il est le saint catholique le plus honoré et ayant à Romn le plus de temples : 4. Hors les Murs, chez Lucina, in Paneperna et chez saint-Damase.

Saint-Laurent illustre l’effet du Sacrifice, il fait à peu-près dire la catholicité.

 

Le premier site de Saint-Laurent est le dimanche Septuagesima (station 14), où les ouvriers sont convoqués, ceci se fait en vertu de la Pâque (ex uno denario). La station « correspondante » sera le Mercredi de Passion, chez St-Marcel. Nous voyons, déjà dans la série de Noël, les fidèles munis du saint Sacrement qu’est la foi. Le denier unique.

 

Le deuxième site de Saint-Laurent est in Panisperna, dans la deuxième série ascétique, où la syrophénicienne exige de Jésus d’être sauvée. La venue du Seigneur est un don messianique, comme la présence d’évêques dans l’église. Panisperna comme diaconie de pauvres présente l’Eglise comme crèche pour ces âmes dépourvues, que sont les païens. Saint-Laurent est le trésorier de l’Immaculée-Conception. C’est en ce premier jeudi du Carême que l’abbé Wuilloud fut mis au monde. Cela veut montrer que la grâce naturelle d’une personne reflète l’importance liturgique du jour de naissance. L’abbé Wuilloud a la grâce spéciale de secourir les dépourvus qu’il rencontre en route. Comme Jésus est venu susciter la syrophénicienne. Saint-Laurent fait parler la foi.

 

Ce que nous voyons le vendredi de la troisième semaine : Saint-Laurent in Lucina est l’église que Saint Marcel construisit dans la propriété de la femme qui l’hébergeait. Ce vendredi nous voyons Jésus interpeller la Samaritaine au puits de Jacob. Ils parlent de l’adoration et de la Messe. L’épître relate la colère du Bon Dieu envers Moïse qui ne Le glorifiait pas par la confiance. Saint Laurent fait habiter le

Bon Dieu dans l’âme des fidèles, symbolisé par la demeure de saint-Marcel chez Lucina. L’église est lumineuse dès qu’elle est habitée par des pontifes (consécration, station 52). Le pontife est la figure de la confession publique. La mission mariale consiste en le courage des fidèles pour confesser la foi, qui est une grâce du saint Sacrifice. Marie donna son Fils, et l’Eglise donne ses martyrs. Le mystère de la sainte Vierge est accompli dans la sainteté de la Maison-Dieu, nouvelle Nazareth.

 

Deux autres stations à saint-Laurent hors les Murs sont le mercredi de Pâques et le jeudi de Pentecôte, stations 66 et 78. Il s’agit respectivement de l’inspiration de l’apôtre Jean de reconnaître le Seigneur, et de la Mission exorciste de l’Eglise qui ouvre les yeux spirituels. Les deux mystères indiquent l’Eglise est dépositaire de la Vérité. La mission mariale ou bien le mystère de la sainte Vierge consiste en la parole doctrinale : faites tout ce qu’Il vous dira. La grâce de l’Immaculée-Conception est vivante dans les disciples messianiques. Et tulerunt (Jean 2,8). Les apôtres transmettent sacrementellement ce que la Vierge de Nazareth reçut historiquement. Saint-Laurent est la preuve apostolique de la divine parole, fécondée d’éternité (Marie-Majeure). Quia viderunt oculi mei salutare tuum, quod parasti ante faciem omnium populorum, lumen ad revelationem gentium, et gloriam plebis tuae Israël.   

Les stations patronnées par saint-Laurent montrent les hommes face en face de la gloire du Bon Dieu. Der heilige Laurentius lebt für das väterliche Wort.

 

·        Sainte-Cécile est une des quatre églises trans Tiberinne, qui représentent la nouvelle Jérusalem. A la messe du deuxième mercredi de Carême nous voyons la mère des fils de Zébédée demander à Jésus que les Apôtres Jean et Jacques aient la gloire d’être assis à sa droite et à sa gauche. Cet évangile sera lu aussi le 25 juillet. Au chapitre 27 de la Genèse l’écrivain sacré relate la bénédiction de Jacob suite l’intervention de sa mère Rebekka ; ce passage sera lu à la messe du samedi de cette même semaine. Sainte-Cécile, la 38e au Canon Romain, indique la nouvelle gloire. Aussi les stations à saint Chrysogone, sainte Marie et saint Pancrace disent à leur tour cette nouvelle gloire, qui réside dans le peuple élu. Le prophète Jonas, l’apôtre Thomas, saint Pancrace comportent la foi de la Résurrection. C’est la communion des auditeurs qui portera la foi de la Sainte Trinité, contrairement à ceux qui veulent se sauver eux-mêmes, en dépit du Magistère. Sainte-Cécile montre l’Eglise qui possède la foi ex auditu et la transmet per admonitionem. Son église est située sur la rive droite du Tibre, saint-Pierre aussi, et pourtant faut-ils franchir le fleuve pour aller d’une à l’autre. Le salut des frères est un mystère réciproque et nul ne peut se le présumer de propre vertu.  Sainte-Cécile enseigne le concours de la grâce par intérêt naturel.

 

·        Saint-Marcel était le premier pape après la première vacance, il construisit une des églises dédiées à saint-Laurent. Sa station est visitée le mercredi de la Passion où il est question de savoir si Jésus était vraiment le Messie. La seule épître tirée du Lévitique prévient de ne pas tromper les ayants-droit. Tant l’évangile que l’épître sont parentes à la station 40, proprement Saint-Laurent in Lucina.  La reconnaissance de la gloire est un devoir d’état pour l’Eglise. Nous connaissons la vérité par grâce et nous sommes obligés de la transmettre. Les scribes et les Docteurs, les autorités religieuses de l’Ancienne Alliance, ont refusé d’enseigner que Jésus était le Messie, ils n’ont pas fait voir la future gloire à ceux qui avaient tant travaillé et espéré (épître). Monseigneur Lefebvre montre par contre quelle est la mission de l’Eglise : se dire Maison-Dieu.

 

La mission mariale de sainte la Sainte-Vierge en cette station 52 – consiste en la conscience, ou bien la vertu de religion. Je suis convaincu de la religion catholique parce que je suis régi par la grâce.  Le fait que Saint Marcel fit construire une église avant les grandes Basiliques de Saint-Sylvestre, prouve que la divine Providence modèle ses protagonistes à son besoin.

En Saint-Marcel, nous voyons la générosité du Verbe dans les conditions difficiles. Cette générosité se fait connaître avant même que nous ne puissions en sentir le besoin. Comme à Cana, dimanche précédant la Saint-Marcel. Pour retourner à l’épître du Lévitique : la divine grâce régit ses ouvriers, les enfants de Marie annoncent le Christ. Marie c’est la grâce, la Vierge c’est la conception.

 

 

Viderunt oculi mei salutare tuum

 

·         La fête des saints Innocents appartient au propre du Temps, et non pas au propre des Saints. En cette première station chez saint Paul l’Eglise célèbre son pouvoir d’absoudre. Le commun des quatre messes en Saint-Paul est que Jésus prévient. L’épître de l’Apocalypse réfère la vision et l’audition de l’Apôtre saint-Jean : et audivi quasi vocem citharoedorum citharizantium in citharis suis. Suis en contradiction à Hérode (qui contient aussi l’étyme oid = chant) qui voulait jouer sur les massacrés. Jésus nous laisse voir le monde pour glorifier son œuvre. Les citharoedi sont eux-mêmes leur instrument, la mort des confesseurs. Par cette fête la divine Providence montre la puissance du sacrifice matériel en vertu du Verbe éternel. C’est parce que Jésus nous fait subir les tourments que nous sommes invités à jouir de sa gloire. L’absolution des pécheurs est une grâce d’être saisi de la Parole. On voit Jésus en disant oui à la gloire qu’Il veut nous conférer.

 

La mission mariale consiste en l’appartenance au monde crée dont la Sainte Vierge est la Reine. Ce qui implique, analogiquement à la station 52 (Saint-Marcel), que les fidèles et fils de l’Eglise soient envoyés à porter le nom de Jésus aux nations qui l’ignorent encore. Pourquoi moi et non les autres ?

 

C’est aux disciples de porter leur fardeau – qu’est le saint Nom de Jésus. Et c’est en ce Nom que les hommes gagnent la vie éternelle, en se faisant ôter les péchés. Par le sacrifice des fidèles.

 

Les autres messes en la basilique Saint-Paul montrent le labeur du Seigneur, la guérison de l’aveugle-né et la doctrine de l’église par précepte dominical (stations 15, 45 et 65 ). Les messes en la Basilique de Saint-Paul ont à faire à la rémission des péchés.

 

·        Vendredi-Saint est la seule station qui ne voit pas de Messe, la Messe c’est la Passion historique de Jésus. Comme Saint-Laurent et Sainte-Marie-Majeure, l’église de Sainte-Croix en Jérusalem fut consacrée par le saint pape Sylvestre (lui-même honorée en la station 46, avec saint Martin de Tours) – une coïncidence qui montre une fois de plus la providence, le mystère de la Sainte Vierge au cours des siècles. Ce n’est pas un pape quelconque qui a béni les grandes basiliques, mais celui qui a baptisé Constantin le Grand et qui présida au premier de tous les Conciles. C’est alors les papes qui font l’Eglise en vertu des prières dévouées du peuple, symbolisé par la sainte épouse de Constantin : Hélène. Le pape saint Sylvestre et le Vendredi-Saint : ils ont tous deux à faire au bois  de la Croix. La grâce se propage par le oui du Père au Fils. Jésus acquiert le salut du monde ex voluntate Patris, et Constantin le Grand acquiert la paix de l’Empire ex gratia summi Pontificis.  Le Père éternel envoit son Fils éternel et se sert de l’Eglise, mère spirituelle d’hommes temporels. Les apôtres de la Sainte Vierge sont les fidèles qui, à la suite de Jésus, exécutent le dessein glorieux.

 

Les deux autres stations en Sainte-Croix de Jérusalem sont les dimanches II de l’Avent et IV de Carême. Il s’agit respectivement de la mission de Jean-Baptiste par les guéris en foi et de la nourriture intarissable que fourniront les prêtres de la Nouvelle-Alliance.

 

●    L’Ascension, station 72 en saint-Pierre au Vatican, montre la naissance divine (préface) et les Apôtres source de la grâce. Ce mystère est également présent en saint Jean Bosco qui fut tout saisi par Dieu, de telle sorte qu’il donna ses conseils pour de nombreuses nominations d’évêques. Hélas l’archövêque même qu’il favorisa aurait dû lui causer des difficultés, et le saint le soutint très longtemps, finissant toutefois par en douter – et dut lui demander pardon. Ce pardon était mis en cause quant à la motivation surnaturelle et fut un éventuel obstacle à la canonisation de cet apôtre. Il est aisé voir dans ces parallèles la parole de Dieu dans les prêtres, qui toutefois ne jouissent que rarement d’une clairvoyance prophétique et sont la plupart des circonstances sujets au raisonne-ment humain. Comme l’archévêque de Turin était secondé par des hommes malveillants aux égards du prêtre Jean Bosco et de son œuvre. Tandis que les hommes sont choisis par les prélats ils ont néanmoins besoin de la divine assistance, que Jésus promit en prévenant les Apôtres de la descente du Saint-Esprit.

 

Le premier chapitre des Actes des Apôtres finit par mentionner la prière du Collège pascal en communion de la Mère de Dieu. La mission mariale ou bien le mystère de la Très Sainte-Vierge en l’Ascension de Jésus est cette prière qui passe du divin Maître aux Apôtres, une prière qui est plus qu’une charge canonique la notion du salut. L’Eglise nous a donné Jésus, et nous croyons cette grâce d’élection en récitant le saint Office. Jésus était venu chez nous, et c’est la grâce de l’Immaculée-Conception qui nous fait retenir la foi.

 

Les autres stations en la basilique Saint-Pierre, douze en tout, montrent toutes cette présence mystique de la grâce. A part tous les samedis de Quatre-Temps, on visite saint-Pierre surtout pour l’Epiphanie et la Pentecôte, et très rarement à la Saint-Marc (Rogations majeures). Pentecôte, au cas typique, est le 8 juin, une demie année après l’Immaculée-Conception. Visiter saint-Pierre signifie écouter le Verbe, se faire disciple d’une autre volonté. C’est la Sainte-Vierge qui a mis au monde le Sauveur, c’est la Sainte-Vierge qui nous donne l’amour. L’amour pour Dieu est une grâce maternelle realisée dans la chair par opération du Saint-Esprit.

 

Marie a fêté cette autre volonté en acceptant la Maternité du Fils et en le voyant mourir pour le salut de sa race. On célèbre l’installation épiscopale de Saint-Ambroise le 7 décembre pour dire la grâce de l’Eglise catholique. Le disposition sacrificielle des Pontifes réalise le fiat de Notre-Dame.

 

Au début février l’Antienne mariale alma Redemptoris mater  est chantée pour la dernière fois. Son oraison per quam meruimus auctorem vitae suscipere est bien adaptée au mystère de saint Ignace d’Antiochie, place 29 au Canon Romain. Sucesseur de saint Pierre et prototype des Pères Cardinaux il illustre ce que signifie vénérer Saint-Pierre, être à la place de Jésus, avoir gagné l’Auteur de la vie : être en pleine grâce, se faire Eucharistie pour communier en l’Eglise.

 

La dernière station de l’année liturgique est en la basilique Saint-Pierre, la guérison de la femme donne l’idée du salut messianique dans l’Eglise catholique. Venir à Jésus, venir à saint-Pierre : c’est la foi catholique, mariale de cœur.

 

Salut du Saint-Sacrement

 

Nous avons accompagné la Sainte Vierge sur son chemin traditionnel. Si quelqu’un me sert, mon Père l’honorera est la déclaration capitale du chapitre 12 de saint-Jean. Quiconque se fait disciple de Jésus-Christ est fils de Marie, quiconque se proclame catholique se fait hote de la Sainte-Vierge. Nous trouvons la Mère de Dieu partout où nous chantons les louanges de la sainte foi. La mission mariale c’est la vie catholique.

 

En guise de résumé un tableau synoptique des moments forts qui brillent où l’humilité de Jésus baptise un enfant : c’est l’Eglise des petits martyrs qui donne la foi aux nations (stations 83).

 

Station

Fréquences

Message

Caractère marial

Marie aux Neiges

10 + 1 fois

Naissance de la grâce

Inspiration virginale

Diacre saint Laurent

7 fois

Viderunt oculi mei

Accord de foi

Saint-Marcel, pape

1 fois

Noblesse oblige

Histoire reflète la gloire du Saint-Esprit

Sainte-Cécile

1 fois

C’est pas vous, ni moi

Instruction tacite

(Saint-Paul)

Saints-Innocents

Jésus prévient

L’église se sacrifie

(Sainte-Croix)

Vendredi-Saint

Exécuter le désir d’autrui

Sagesse paternelle

(Ascension)

Saint-Pierre

Parole arrivée

Prière canonique (Kana)